by hatalar in
Star Citizen

Le grand Conseiller Hatalar a nommé son évènement « La montagne infernale »

A-t-il des intentions cachées au revers d’un tel nom ? Où ne serait-ce que pour nous démontrer que derrière chaque dessein se dessine une motivation bien différente de celle que l’on veut bien nous montrer. A moins que l’on se mente à soi-même sur nos propres orientations. Au final qui peut se targuer de savoir quel est son vrai but ? 

L’action nous plonge dans une réalité toute simple. Un pic à gravir avec l’outil dont son homonyme présage la calamité. Le Cyclone, véritable furie à quatre roues.

Les véhicules sont amenés par Caterpillar , non sans difficultés certes mais que serait un départ de Rallye sans vent changeant et un dernier dérapage technique. 

Fiers sur leurs collines, les pilotes vérifient leurs montures ainsi que les combinaisons de résistance au grand froid. Même si pour l’instant la météo capricieuse de la planète a l’air de laisser les hommes vers une contemplation subjective. 

Devant eux se dresse une chaîne de montagnes escarpée et hostile. Plusieurs dizaines de kilomètres les séparent des premières grosses dénivelées.  Même d’ici, la certitude est complète, l’enfer n’est pas pavé de bonnes intentions. Il est plein de bosses, de roches affûtées comme des rasoirs, de trous et de pièges prêts à casser à n’importe quel moment dos et suspensions. 

Le juge de départ se met en place pour lancer cette course qui ouvrira les hostilités et surtout qui jaugera la difficulté. Ici pas d’aide de camp, pas de soutien, pas de copilote, les hommes sont seuls face à leur destin. 

La concentration est à son comble jusqu’à ce que le silence se brise. La course démarre enfin dans un rugissement sourd et un grondement faisant trembler le sol sous les pneus des buggies prêts à en découdre. 

Une silhouette réussit à prendre la tête tandis qu’une autre la suit pour éviter les mauvaises surprises. Dans leur sillage, la tôle se froisse, des morceaux de métal se tordent, des bris de verres s’abandonnent sur le sol.  

Devant nos pilotes eux se dresse une chaîne de montagnes escarpée et hostile. Plusieurs dizaines de kilomètres les séparent des premières grosses dénivelées.

La concentration est à son comble jusqu’à ce que le silence se brise. La course démarre enfin dans un rugissement sourd et un grondement faisant trembler le sol sous les pneus des buggies prêts à en découdre.

Ici pas d’aide de camp, pas de soutien, pas de copilote, les hommes sont seuls face à leur destin.

La cavalcade s’engage sur les collines de Microtech , certains réussissent des bonds , d’autres ont moins de chance. Mais tous essayent de vaincre l’incommensurable. La tête se dessine toujours plus haute tandis que le troupeau s’enlise dans les problèmes techniques. L’avant-garde commence à 7

https://youtu.be/2QoKSQYRWI4
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